Education : Tendances évolutives et destins d’enfants – 16° Les phobies – troubles obsessionnels (compulsifs) / perte de mémoire


Importante introduction

Ce qui est suit est un Xème article correspondant à un chapitre d’un livre.
Lire l’introduction comprenant l’intention de l’auteur, la mienne, les précautions oratoires, etc. sont indispensables pour bien prendre en compte le contexte dans lequel ce qui suit est écrit.

Elle est ici https://marcherparlerpenser.wordpress.com/2020/03/28/education-tendances-evolutives-et-destins-denfants-1-introduction/

Concernant la pédagogie curative, elle est enseignée – notamment – à l’université de Fribourg et se base sur une approche scientifique moderne. Lire : https://marcherparlerpenser.wordpress.com/2020/10/30/la-pedagogie-steiner-et-lanthroposophie-offre-une-vision-scientifique-de-lautisme/
Une description caractérologique peut être présentée. Elle suit la logique phénoménologique goétheenne. Lire : https://www.bio-dynamie.org/biodynamie/presentation/approche-goetheenne/
La « caractérologie » présentée se veut donc non-exhaustive, phénoménologique, purement descriptive, non-déterminante et non-déterministe!


Ce thème a un rapport avec les deux précédents dans le sens qu’on continue d’explorer le lien entre le métabolisme et les invalidités.
J’ai fait le choix de ne pas employer le terme « inconscient » traduit comme tel en français dans le livre alors qu’en pédagogie curative qui suit les indications de Steiner, il est démontré que l’inconscient est un théorisme abstrait. Steiner parle de degrés de conscience qui évoluent (sommeil, rêve, veille). Ses indications travaillent dans le sens donné par Goethe : elle est phénoménologiquement scientifique.


Importance du souvenir comme de l’oubli

Chez l’être humain normal, il est important à la fois qu’il se souvienne et qu’il oublie. Le souvenir donne de la durée, de la consistance et de la continuité à l’individu. L’oubli, quant à lui, permet aux nouveautés de surgir.
Ce qui est oublié chemine en l’âme dans une conscience de rêve voire de sommeil et resurgit dans la conscience de veille. Le souvenir en est transformé tout autant que l’homme. Ainsi, le cheminement des souvenirs est dynamique.
Dans ce sens, oublier n’est pas entendre comme une stagnation (ce qui est le cas dans les analyses plus psychanalytiques).

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Le chemin du souvenir

Cette dynamique concerne une dialectique dehors, dedans ; haut, bas. En effet, le dehors devient dedans et le haut devient bas : j’ai perçu l’extérieur, je m’en fais une représentation qui devient une perception intériorisée. Elle « tombe » alors dans l’oubli : le fruit de la pensée tombe dans la zone métabolique et des membres et y poursuit son chemin.

Le pôle neurosensoriel perçoit le monde extérieur qui est ensuite représenté pour être oublié pour, finalement, revenir à la mémoire.

On peut se poser quelques questions : que s’est-il passé ? Où était la représentation ? Est-ce que cette dynamique existe ailleurs ?

Une dynamique analogue à celle de la graine végétale

À nouveau, suivant la démarche phénoménologique proposée par Goethe puis par Steiner, on cherche à retrouver cette dynamique dans le corps de l’homme ou dans le monde.

Ce chemin du souvenir est similaire à ce de la plante qui surgit au printemps pour disparaître à l’automne pour finalement revenir se reconstituer à nouveau au printemps. C’est le chemin de la semence végétale qui concorde avec celui du souvenir.
Comme la graine, le souvenir n’est pas prêt, quelque part et stocké, il s’agit sans cesse de le recréer.
Cette recréation demande de la volonté. On observe chez certaines personnes dites « kinesthésiques » qu’elle mémorise beaucoup mieux en marchant ou en bougeant. Cela semble indiquer que c’est là que se trouve le siège de la mémoire humaine : dans le métabolisme lié à la volonté. Notre langue parle, dans ses locutions, de la force nécessaire au fait de se souvenir ou de leur chute : « remontée » des souvenirs, « tomber »dans l’oubli, « rappeler » à la conscience.

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Où était la représentation ?

Durant tout le processus décrit ci-dessus, le souvenir s’est mêlé à la vie de l’âme et à la nature créatrice de l’imagination. Les perceptions olfactives, auditives et gustatives peuvent être des catalyseurs à cette remontée des souvenirs.
Il y a eu ainsi digestion du souvenir.
Cette intériorisation fait de la mémoire une source de création poétique.
Ainsi, ce sont les souvenirs de l’enfance qui inspirent de nombreux poètes comme Baudelaire (je recommande de cliquer sur Baudelaire, le titre est magnifique et exemplaire à notre propos) et la madeleine de Proust. Dans cette dernière, c’est un gâteau qui, après tout un processus décrit, fait remonter à la mémoire des souvenirs d’enfance oubliée avec une force comme « une ancre qui se lève ».

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Chemin sain du souvenir :

Perceptions => représentations => oubli des représentation et des perceptions qui chutent dans la vie de l’âme au niveau de la volonté (pôle métabolique / membres au niveau du corps physique) => remontée du souvenir dans la conscience de veille.

Cette dynamique peut être impactée par des maladies.

Les pathologies de la mémoire :

1° Celle qui n’arrive pas oublier : ce sont les phobies et les troubles obsessionnels (qui peuvent être compulsifs).

2° Celle qui n’arrive pas se souvenir : c’est la mémoire lacunaire.

On va traiter ici des troubles de la mémoire immédiate de l’enfant : l’impression reçue à l’instant coïncide avec le souvenir remontant.
Il est à noter que le chemin du souvenir explicité ci-dessus est celui de la mémoire différée.

Ne pas savoir oublier

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Chez les enfants qui ne savent pas oublier, les impressions reçues ne se gravent pas assez intensément dans le pôle métabolique et des membres.
Elles sont rejetées immédiatement et reste à l’état de représentations figées qui se répètent. C’est comme si elles rebondissent dans leur descente vers l’oubli sur un trampoline et n’accède pas à l’oubli. De ce fait, les symptômes apparaissent et l’enfant exprime des représentations obsédantes qui reviennent sans cesse à la conscience de manière forcée et qui sont pas en lien avec la réalité.
La personne n’en a pas la maîtrise volontaire et voit sa conscience être dominée et constamment envahie.
Souvent, ces représentations s’expriment verbalement par des écholalies voire par des actes : se laver souvent, aller vérifier que les portes soient fermées, s’assurer que la montre est toujours bien attachée au poignet, etc.
La conscience peut être subjuguée un tel point que la personne passe des journées entières à mettre en place des rites différents un tel point que cela peut être invivable pour l’entourage.
En dessous de la rigidité se cache une anxiété latente, présente qui se cache derrière tout acte et paroles observées.
Il y a aussi une anxiété évidente dans le cas des phobies obsessionnelles qui est plutôt liée à une domination des lois de l’extérieur et de l’espace sur l’individu.

La dynamique obsessionnelle

Au départ, il y a une racine à l’enchaînement obsessionnel : la capacité à oublier leur représentation observée. L’enfant est assailli et vaincu par les impressions reçues.
La dynamique obsessionnelle conquiert peu à peu tout l’être humain et gagne ses paroles et ses actes ainsi que ses sentiments.

Perceptions => représentations => elles rebondissent et ne peuvent pas être oubliées => les représentations deviennent des impressions qui n’arrivent pas à s’imprimer et rebondissent vers la conscience de veille => l’impression est plus forte que la conscience, elle s’en empare => pousse au passage à l’acte et/ou l’écholalie => tentative d’oubli => retour des impressions => conscience à nouveau emparée => pousse au passage à l’acte => perpétuation du cycle => …. => ….


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Cette dynamique s’oppose à celle de ne pas savoir se souvenir

Ne pas savoir se souvenir

À l’opposé de la démarche obsessionnelle, les impressions, à l’inverse, tombent dans un abîme sans fond, dans le marécage de l’oubli. Ces impressions semblent être absorbées par le pôle métabolique et des membres d’une manière absolue et paraissent comme oubliées, à jamais.

Les symptômes sont les suivants :

L’enfant oublie tout.

Sa faculté d’apprentissage diminue.

Sa faculté de consommation diminue parce que percevoir un contenu et le garder en mémoire favorise la concentration.
Si le contenu perçu tombe, il ne stimule pas la faculté de concentration.
Cette remarque invite à bien prendre en compte l’aspect mnésique quand on cherche à diagnostiquer les troubles de la concentration : l’enfant semble avoir du mal à se concentrer parce qu’il a d’abord peut-être du mal à se souvenir. Il est important d’explorer cette possibilité avant de se « ruer » sur les diagnostics de trouble de l’attention et de la concentration.

Le chemin du souvenir est perturbé

À l’inverse du trampoline qui fait que la pression remonte sans cesse à la conscience dans le cas de l’obsessionnelle, c’est l’image d’un marécage, d’un chaudron bouillonnant qui peut être explicite. En effet, ce qui tombe dans l’oubli dans le cas des enfants manquant de mémoire, les impressions, perceptions et représentations continuent leur propre vie sans avoir été digérées dans le monde du rêve du sommeil.
Comme un plat qu’on digère pas bien dans l’estomac, elles y stagnent.
Cette stagnation va s’exprimer symptomatiquement non pas par une anxiété comme l’obsessionnel mais aussi par une rage latente.
L’âme de l’enfant est dans un état nauséeux. L’image du volcan peut aussi parler.

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Il manifeste :

Une agitation des pensées, des sentiments de la volonté.

L’enfant ne tient pas en place et est constamment excité et stimulé.

Il manifeste une tendance à détruire ce qui lui tombe sous la main.

Les tensions bouillonnantes peuvent parfois se libérer par de subites poussées agressives envers le matériel, sa propre personne et les autres.

À l’inverse de l’excitation, ils peuvent parfois être très calmes, apathiques et déprimés.

Ils peuvent manifester des gestes incontrôlables, être maladroit dans l’ergonomie quotidienne.

Leur écriture est maladroite.

Analogie et différence avec l’obsessionnel

Comme l’obsessionnel, l’enfant avec un trouble de la mémoire est vaincue par ce qui lui est étranger. Les différences font que :

1° ce n’est pas la conscience qui subit la persistance d’impressions mais le monde du sommeil et du rêve qui sont secoués par des impressions, des souvenirs directement oubliés, non digérés qui entrent alors comme des étrangers dans l’âme.

2° on n’observe pas de répétition de comportements rigides et fixes mais un comportement destructeur, des réactions excessives et imprévisibles, anarchistes et hostiles à toute remise en ordre

Cette approche psychologique est à compléter par une approche physiologique.

Approche physiologique

Pour cela, reprenons les phénomènes psychologiques du rebondissement et de l’absorption. Où les retrouvons-nous organiquement ?

C’est dans la peau, le pigment et le contact avec la lumière.
On le verra. Ce qui suit introduit le sujet

On a observé que pour l’obsessionnel, le sol est dur, il y a présence d’un trampoline qui fait que les impressions remontent sans cesse à la conscience.

À l’inverse, pour l’enfant manquant mémoire, il a présence d’un marécage, d’un vortex aspirant.

Quelle est donc, sur la formation de la mémoire, cette influence paraissant tantôt trop dur tantôt trop molle ?

Steiner nous donne une piste très intéressante : il établit une relation directe entre la mémoire avec sa pathologie, et la structure des protéines tissulaires.
L’auteur note que l’on n’est pas trop surpris de cette relation matérielle après avoir remarqué déjà la parenté entre la formation des souvenirs et la digestion.
Il existe toute sorte d’indices en faveur, précisément, du lien entre la substance protéinique et les phénomènes mnésiques.
Par exemple, la reproduction et l’hérédité, liée au processus protéinique, suppose elle-même une sorte de mémoire organique qui est capable de reproduire toujours un organisme existant déjà.
Un autre exemple donné : celle de la réaction immunologique : l’organisme peut reconnaître une substance déjà rencontrée. On parle de mémoire immunologique.
R. Steiner est même plus concret : il explique qu’une forte teneur en soufre permet aux protéines d’absorber davantage les impressions et de les oublier.
Au contraire, si la teneur en soufre diminue et que celle du fer augmente, les impressions ne se fixent pas assez et rebondissent favorisant les représentations obsédantes.

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Où retrouve-t-on cela concrètement ?

L’anomalie de la structure protéinique se traduit dans la couleur des cheveux des enfants et le pigment de la peau.
Les enfants aux cheveux blonds et roux ont une tendance d’avoir plus de soufre que les enfants aux cheveux foncés qui ont une tendance d’avoir plus de fer.
Cela est corroboré concrètement : le trouble protéinique peut influencer la vie psychique toucher le physique dans le cas par exemple de l’oligophrénie approchée dernièrement dans ce blog.

Le lien entre le pigment de la peau et des cheveux avec les troubles mnésiques

Très souvent, les enfants aux cheveux blonds manquent de mémoire et les cheveux foncés vont exprimer plus souvent une tendance plus obsessionnelle.

La couleur des cheveux est, en effet, liée aux pigments qui sont eux-mêmes en lien avec les protéines : on observe une plus grande teneur en fer dans les cheveux noirs que les blonds et vice-versa pour le soufre.

Cela est prouvé

S’il y a une augmentation de la teneur en fer pathologique (l’hémocromatose et la sidérose), le teint de la peau de la personne devient très foncé. Ce teint de peau et de cheveux diminuent si on traite en diminuant l’apport de fer. Car, en effet, le fer est un acteur essentiel dans la production accrue du pigment superficiel à l’inverse du soufre qui la diminue.
Il y a des analogies similaires entre les hommes et les femmes.

Quid de l’homme et de la femme ?

La femme a généralement plus d’affinités avec le soufre (appelée thiophilie) tandis que les hommes ont plutôt une tendance pour le fer.
On observe ainsi que les hommes ont plus de tendance obsessionnelle que les femmes mais, il n’est pas encore démontré si la femme manque plus de mémoire que l’homme.
En grandissant, dans son développement et en général, il est normal que l’enfant va du teint clair vers le teint foncé.

Concernant la diminution du pigment :

Les enfants sont plus vulnérables aux ultraviolets, aux coups de soleil et aux insolations.

Les enfants peuvent être albinos.

La perception de la lumière peut être perturbée car il manque du pigment.

L’auteur établit un rapport entre l’œil la peau.

L’œil est dans une distance antipathique par rapport au monde tandis que la peau est en sympathie en communion avec ce dernier.
Il montre ici encore un parallèle entre les cheveux blonds et le cheveux foncés.
En effet, par rapport à la lumière, l’enfant blond, qui a une tendance à manquer de mémoire et manifeste un manque de pigment aura une peau qui a une tendance à tout laisser passer. Contrairement aux cheveux foncés, ayant une peau plus pigmentée, qui vont moins absorber la lumière et ainsi plus la rebondir.

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Une note importante

Les cellules pigmentaires sont liées au système nerveux et donc à la perception et la conscience. L’auteur souligne ici un parallèle entre le métabolisme de la lumière et celui de la mémoire.

La thérapie curative

1° Diète, médicaments et compléments alimentaires.

Concernant le manque de mémoire, le médecin recommande d’apporter une alimentation beaucoup plus salée et des légumes racinaires ainsi que des compléments alimentaires soufrés.

Concernant l’obsessionnel, il recommande de donner beaucoup de fruits aromatiques ainsi que du fer en compléments alimentaires. Le goût et l’odeur favorisent le mouvement circulatoire des souvenirs.

2° L’importance du traitement psychologique, éducatif et pédagogique

Le traitement est basé sur la communication verbale.
Le but est de désaccoutumer les protéines de leur teneur trop élevé ou carencé en soufre.

Concernant les enfants en manque de mémoire, il est important de rythmer leur journée et de les participer à des activités rythmiques et musicales car dans le rythme, il y a une véritable thérapie : l’impression est toujours répétée encore et encore. La rythmique musicale donne ainsi ce qui manque dans le chemin du souvenir chez l’enfant qui manque de mémoire.

La rythmique peut être aussi dans les histoires lues aux enfants. Par exemple, on lit pendant une semaine la même histoire au coucher.

Il est à noter, que dans notre société sous la télévision est relativement centrale, l’enfant est confronté à des impressions toujours en mouvement, non rythmique, mécanique, avec des épisodes et de séries toujours neufs, qui peuvent avoir un effet désastreux, avec des conséquences sur la mémoire des enfants et donc leur concentration.

Imaginez aussi l’impact psychique pour l’enfant qui passe des heures devant un écran : il intègre nombre d’impressions et de perception qu’il a déjà du mal à digérer sans écran. Une télévision émet 24 images à la seconde. Un enfant manquant de mémoire, qui a ce trouble, reçoit 1440 images potentiellement non-digérées par minute dans son « marécage » psychique. 14 400 pour 10 minutes, 86 400 à l’heure. Il s’agit pas de s’étonner qu’après il manque de concentration, se sache pas s’endormir ou devient violent et agressif …
Il est ici capital de comprendre que la télévision et les écrans peuvent avoir un effet dévastateur sur les capacités de mémorisation et de concentration des enfants ce qui a un impact scolaire considérable en plus de ne pas faciliter le travail des enseignants et des médecins qui vont alors compenser ce déséquilibre et/ou en subir les conséquences sans parler de l’enfant lui-même qui peut voir sa scolarité impactée.
Ainsi, il serait bon que les politiciens voient en les écrans un facteur anti-hygénique et anti-sanitaire, contribuant un déséquilibre chez l’enfant et pose des limites légales aux publicitaires et industries de l’audiovisuel.


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Il est important de développer des rites verbaux lors des repas, lors du matin en classe, lors du soir.

Concernant l’enfant obsessionnel, contrairement aux impressions bruyantes et répétées qu’il peut avoir du monde, il est essentiel de l’éduquer de lui parler par les chuchotements qui invitent à oublier ce qu’il répète.

Par exemple, si l’enfant dit sans cesse « la porte est fermée ? » et s’en va la vérifier à plusieurs reprises, l’éducateur peut dire très calmement et en chuchotant, de manière répétée « oublie la porte », « oublie la porte », « oublie la porte ». Cela a un impact très intense sur l’enfant.
Pour cela, il est essentiel que l’éducateur maîtrise son élocution, son débit et son ton.

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On observe, que des enfants élevés dans des environnements bruyants, avec des éducateurs qui élèvent sans cesse la voix, sont tonitruants dans une dynamique relationnelle tyrannique on crée là un facteur qui renforce les obsessions.
L’enfant va imiter les pensées, les sentiments, les volontés perçues dans un tel cadre. Il va les faire siennes. Un cadre éducatif chaleureux, dans une ambiance de bonté, avec un parler calme et chuchoté sont ainsi des facteurs curatifs importants pour traiter l’enfant obsessionnel.

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Dans le cas des phobies, le trouble est à lié à l’espace (agoraphobie, claustrophobie)

Il est essentiel de stimuler la vie intérieure pour opposer cette force intérieure à la pression extérieure exercée par l’espace et le monde.
Pour cela, on développe une pédagogie qui s’intéresse au monde, qui cherche à le comprendre pour l’aimer. En le comprenant le monde, l’enfant éprouve de la joie et de la compréhension par rapport au monde et cela fait diminuer l’angoisse.

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Publié par Alexandre Walnier

Belge. Régent (Bac+3) en sciences humaines (enseignant en histoire, géographie, sciences sociales et économiques). Formé à la pédagogie Steiner (Grandes classes) à Chatou 14 ans d'expérience dans les écoles primaires, secondaires (générale, technique, professionnelle, spéciales - type 1,2,3) ; éducateur en IMPRO, IPPJ ouverte et fermée. 2 ans et demi d'expérience en WWOOF (volontariat dans des fermes bio(dynamies) en Australie.

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